Un autre jour, un peu plus ensoleillé, nous partons à la découverte de la côte: Saint Tropez, Saint Raphaël, Cannes, Vallauris, Monaco; l'album précise que nous avons fait quelques musées, et que j'y ai découvert Van Dongen (le courant fauve très proche de l'expressionnisme que j'apprécie tant); bien sûr Picasso fait partie du paysage - surtout à Vallauris. Monaco appartient à ces lieux qui alimentent le snobisme: les enfants sont ravis (ça leur donnait du prestige dans la cour de récréation). Et aussi nous parcourons la célèbre route de la Corniche, terre rouge sur fond mer azur.
4 commentaires:
Quelle tignasse et quel look! J'ai honte!
Je suppose que c'était le look de l'époque...le mien n'est pas mieux !
La route de la corniche : je t'avais même demandé de pousser une pointe jusqu'à la frontière italienne car je voulais voir la maison au bord de mer de Rouletabille dans je ne sais plus lequel de la série de Maurice Leblanc que je lisais à l'époque (histoire de faire croire à tout le monde que j'ai lu une tonne de bouquins quand j'étais ado...).
Jéjé ! J'avais complètement oublié ! Le titre, c'est "le parfum de la dame en noir".
Je vois que je n'étais pas la seule à être atteinte par le virus des pélerinages littéraires - héréditaire, en quelque sorte !
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