Sur la route vers Paracas, après l'hacienda, deuxième barrage, plus costaud que le premier; aucun véhicule ne passe, même ceux des touristes; longues tractations et on laisse finalement passer notre car (contre argent ? je ne le saurai jamais); nous traversons des bourgades d'une pauvreté à pleurer et nous parvenons enfin à destination: le luxueux hôtel Paracas, entouré de murs surmontés de barbelés, défendu comme une forteresse; à l'intérieur, luxe, propreté, abondance; dehors, misère, crasse et privations. Une fois de plus je suis honteuse, mais c'est cela le capitalisme: ma richesse est basée sur leur pauvreté.
Changement de présentation
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Mes photos étant désormais d'un format plus important, elles
n'apparaissaient pas en entier sur le blog! J'ai donc changé le modèle du
blog. Ceux qui ne so...
Il y a 9 ans
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