Gulya est une grande impulsive: Qualité ? Défaut ? La voilà qui s'entiche d'une expo de peintures découverte dans une medersa transformée en galerie; en quelques minutes, elle obtient les coordonnées du peintre, lui téléphone et lui donne rendez-vous. La suite est prévisible, elle achète (cher) un tableau qu'elle aura toutes les peines à sortir du pays (obligation d'un certificat officiel) et donne l'espoir à cet obscur artiste local d'exposer en Belgique. Aucune suite à cette histoire, bien entendu, sauf le tableau qui trône dans son salon à Ruisbroek, ainsi que des reproches de Didier son mari.
J'aime bien aussi ce surréalisme qui mêle métaphores et gloire ouzbèque... Gulya a choisi le premier, le deuxième est un de mes favoris.
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