Le soir, revenues à Oulan Bator, nous nous offrons un bon restaurant, et nous avons bien raison, car ce sera le dernier avant longtemps. Au menu le thé salé au beurre (bof), une soupe bien grasse où nage une viande indéterminée, et les buuz, ces gros ravioli que les Russes appellent pelmeny, les Tibétains momo, et les Chinois jiaozi. Autant dire qu'on n'a pas fini d'en manger ! Pour l'ambiance, ce violon mongol inimitable, qui nous tire des larmes...
Je n'ai pas résisté à l'achat d'une superbe veste: qu'en dites-vous ?
1 commentaire:
Chez nous (à Nice) on dit "raviole", c'est un art que de les faire à la main avec une daube mitonnée des heures la veille..
Et je suis fière de constater que les Niçois ont aussi bon goût que les Tibétains et les Ousbèques....
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