Notre but après Karakorum était de manger, ce que nous avons fait dans une gargote de routiers digne d'un film (photos perdues) et puis de trouver un hôtel (comprenez un camp de yourtes) près du domaine des fameux chevaux de Przewalski (du nom de celui qui les découvrit à l'état sauvage et tenta de les préserver); ce ne fut pas simple, la plupart étaient...complets ! Nous avons fini par en trouver un, moins joli que Bayan Gobi, défaut compensé par les chevaux qui se promenaient en liberté, pas du tout farouches. Admirez l'intérieur de notre yourte: peu de décoration, mais de beaux meubles. Ce que nous ignorions, c'est que nous allions passer notre nuit à écraser de grosses punaises répugnantes, invisibles le jour, qui envahissent tout la nuit. Un combat acharné, qui ne cessa qu'avec le lever du soleil. Epuisées et dégoûtées nous avons laissé nos nouilles du petit déj à Popol, qui riait de nos frayeurs. Paraît que c'est normal...
PS: photos de ces insectes perdues, dommage pour l'identification !
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