dimanche 16 janvier 2011

Toujours plus à l'est...


Faut croire que je n'ai pas été trop traumatisée par le harcèlement des souks tunisiens ou les séducteurs-coureurs de carte de séjour, vu que ma destination suivante, à l'automne, fut la Syrie et la Jordanie. Une année très itinérante, j'étais jeune à ce temps-là.

Première étape, Damas. Deux points communs avec Tunis: les immenses photos du président Bachar Al Assad présentes partout et l'interdiction de photographier la forteresse qui sert de palais. Donc pas trop de dépaysement.

Transport: voiture avec chauffeur. Ce brave homme m'attendait à l'aéroport; car c'était l'homme le plus brave de toute la Syrie, je peux en témoigner. Le premier ahurissement passé - pour lui une voyageuse solitaire était une énigme - il s'est révélé le dévouement personnifié. Il estimait probablement de son devoir de jouer le rôle du protecteur qui me faisait défaut. Il s'appelait Mustapha.

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