jeudi 31 janvier 2008

Santiago de Compostel


Enfin nous y voilà ! Nous ne sommes pas déçus, ni par la ville, ni par la basilique. Ici chaque pierre est marquée par la ferveur des pélerins. Quelle est donc cette force qui pousse vers les extrêmes ? Un jour je viendrai comme au Moyen Age, comme il se doit, à pied ! En attendant, nous méritons bien notre coquille, car nous faisons même le détour par le Cap Finistère (oui, la fin de la terre, comme en Bretagne), là où la légende situe le débarquement de St Jacques. Et les petites routes sont épuisantes.

Une épreuve nous attend encore: le passage de la frontière portugaise; nous patientons des heures dans une file ininterrompue de voitures et de camions, sur le pont qui franchit le Rio Minho, frontière naturelle entre les deux pays. Et puis des formalités administratives à n'en plus finir... Bien oubliées avec l'Europe, toutes ces contraintes !

Aucun commentaire: