



Mon père passait toutes ses soirées d'hiver penché sur les cartes, si bien qu'il voyageait toute l'année; il s'est toujours limité à la France, mais à l'époque - les années cinquante - c'était déjà l'aventure, surtout qu'on pratiquait le camping, dont les infrastructures étaient balbutiantes.
Je suis donc "tombée dedans", comme Obelix, et dès l'enfance j'ai rêvé d'ailleurs, étudiant les cartes des livres de géographie, dont les couleurs affublant chaque pays me fascinaient. A cette époque je voulais devenir marin, une de mes nombreuses vocations contrariées.
Virginie
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