mardi 12 mai 2009

Naples et la côte almafitaine
















J'avais vraiment la bougeotte cette année-là (2003) ! A peine revenue des glaces de la Mer Baltique, je m'envole vers le sud, avec Alitalia, un très mauvais choix (que je répéterai en 2007, on fait souvent les mêmes erreurs, et pas seulement pour les avions). En fait le vol retour dont j'avais le billet en main n'existait pas, tout simplement... Il fut remplacé par un autre, avec des horaires très différents !!!

Sur place, tout s'est très bien passé. J'avais réservé un hôtel près de la gare, pour emprunter le train de banlieue qui file sur la côte et permet de visiter les endroits célèbres. La solitude ne m'a pas du tout pesé, c'était même grisant de me balader librement, à mon rythme, et de faire des choix personnels.

Me voilà en haut du Vésuve (j'ai fait l'ascension très tôt, avant l'arrivée des groupes); me voilà à Pompéï (sans guide), à Herculanum (idem), à Sorrento (bof), à Capri (juré, c'est fini), à Procida (sympa); j'ai sillonné Naples, en serpentant entre les Vespas, goûté à la gastronomie locale, les poulpes à toutes les sauces (probablement une prémonition) et admiré au musée le cabinet secret (les dessins lestes de Pompéï), ainsi que le bel Alexandre sur la mosaïque de la Maison du Faune....

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